Antifiction

« Un jour je prends le train ! Je m’assois sur mon siège et je m’endors ! Et soudain l’autre à côté de moi qui me réveille ! Et qui soudain me parle de Thèbes ! La peste dans la cité ! Les voies coupées ! Le courant coupé ! Le train attaqué ! En effet je vois du bruit ! J’entends du feu ! Des pneus enflammés dégagent une fumée noire ! Personne ne sait combien ils sont dehors ! Bientôt la nuit tombe !...

Voir sur le site du CAIRN :
https://www.cairn.info/revue-chimeres-2007-2-page-182.htm

Publié dans le numéro

Chimères n°64 - Anti

Voir aussi

Frileux, pileux, hargneux

par Claire Auzias

C’était une bourgade brutalement gonflée de pseudo-importance. À savoir, gonflée extérieurement pour d’inexpliqués besoins. La bourgade était grimpée à l’assaut de l’argent, des poses et des sauteries d’arrivistes en moins (...)

Le chemin des rencontres – Séoul

par Jean-Charles Jambon

Plus d’un siècle après Baudelaire écrire sur la ville lui avait paru un pari insensé. Il essaya cependant. La tâche fut rude. Non seulement il lui fallut lire des textes écrits dans une langue qui n’était pas la sienne, (...)

Comédien

par Elias Jabre