À hauteur de visage

par Francis Bérezné
Dans un temps et un lieu que la politesse m’amène à taire, chaque fois que je rends visite à une amie, à mon étonnement, à mon grand déplaisir, une tête de chienne phagocyte son visage, comme si le fantôme de Charles Le Brun, caché dans mes bagages, ne se contentait plus de dessiner ses figures hybrides, éminemment troublantes, hommes-chameaux, hommes-béliers, ou hommes-aigles, mais voulait désormais...
Voir sur le site du CAIRN :
https://www.cairn.info/revue-chimeres-2010-2-page-183.htm
Publié dans le numéro

Chimères n°73 - Tiques, meutes et larves