Publié en février 2009
Amor était couché, nu, sur son lit comme un fragile souffle, comme une ombre allongée. Les yeux mi-clos, les bras étendus à l’horizontale comme un oiseau de nuit. Tranquille et haletant, voire exalté, la peur le contemplait. L’Amor répandu dans une sensation égarée, dans un labyrinthe d’émois kaléidoscopiques – propagation des couleurs de l’inquiétude, t’a envahi au moment où ta vie venait à tomber,...
Voir sur le site du CAIRN :
https://www.cairn.info/revue-chimeres-2009-1-page-207.htm
Publié dans le numéro

Chimères n°69 - Désir Hocquenghem