Constantinople et la littérature arménienne : l’histoire d’une fascination

Pendant plus de quatre siecles et demi, jusqu’en 1915, Constantinople a été l’un des pôles les plus actifs de la culture arménienne. La fascination que la capitale de l’Empire ottoman a exercée sur les écrivains est mêlée de confiance et de méfiance. Cette ambiguïté a été résolue dans l’horreur. Les œuvres qui survivent en sont les traces que je vais mettre en évidence.La présence arménienne dans ce...

Voir sur le site du CAIRN :
https://www.cairn.info/revue-chimeres-2007-1-page-71.htm

Publié dans le numéro

Chimères n°63 - Éclats d’Arménie

Voir aussi

Éclats de mémoire et enjeux politiques

par Monique Sélim

Cette livraison de Chimeres, entièrement consacrée aux mémoires arméniennes, dévie des usages de la revue, généralement ouverte sur une pluralité de voix et de contrées, de lignes de recherche et de modes d’écriture. Ce (...)

Territoires de l’expression

par Anne Pezaire

L’Arménie actuelle, entre Turquie, Iran, Géorgie et Azerbaïdjan, se situe à l’emplacement d’une des plus anciennes civilisations du Proche-Orient. L’Arménie historique s’est développée jusqu’en 387 après le début de l’ère (...)

Les cadres esthétiques de la mémoire arménienne

par René Schérer

Une immense carte de l’Arménie, une carte de plusieurs mètres, due au pinceau d’Itvan Kebadian ouvrait cette exposition qui s’est tenue à la cité des sciences de la Villette jusqu’au 23 novembre dernier. Une carte de (...)