Des esprits-animaux

par Jean-Clet Martin
L’animal, ce que le mot même donne à entendre, se montre d’abord comme animation. Il est investi d’un mouvement qui n’est pas de pierre, un mouvement qui ne se contente pas de choir comme lorsqu’un corps dévale, entraîné sur une pente. Au contraire, l’animal se meut de l’intérieur selon une force propre dont la mécanique ne saurait rendre compte, elle qui n’a du mouvement qu’une connaissance extérieure,...
Voir sur le site du CAIRN :
https://www.cairn.info/revue-chimeres-2010-2-page-91.htm
Publié dans le numéro

Chimères n°73 - Tiques, meutes et larves