Detroit, carnet de voyage

par Elsa Bernot
Écrire Detroit, c’est déjà mentir, trahir. C’est évident. C’est évident qu’il faut le dire.Detroit ne ressemble pas aux portraits que l’on en dresse.Detroit, comme Dresde en 46  ? Vraiment  ? Je ne sais pas, je n’ai pas assez échangé avec les gens d’ici pour dire.Mais il n’y a pas de cadavre.Detroit la gueule cassée du grand capital  ? Je n’y lis pas tant de souffrances. Peut-être que je ne regarde pas...
Voir sur le site du CAIRN :
https://www.cairn.info/revue-chimeres-2013-2-page-185.htm
Publié dans le numéro

Chimères n°80 - Squizodrame et schizo-scènes