Publié en juin 2007

Éditorial

par Stéphane Nadaud
Ainsi donc nous prenons la mer. Et c’est sur des mers chimériques que, ce jour, nous voguons. En ces jours et ces lieux où chacun défend fermement son morceau de territoire, refusant aux autres (sauf à les «  choisir  ») une quelconque jouissance de son sol, en cette période où l’hospitalité, pour reprendre ce si beau mot que René Schérer a su exhausser, où l’hospitalité ne semble plus parler aux dirigeants...
Voir sur le site du CAIRN :
https://www.cairn.info/revue-chimeres-2007-2-page-7.htm
Publié dans le numéro

Chimères n°64 - Anti