Contre la logique de l’un, la politique de l’identitaire, vivent les tiques, les meutes, les larves, qui bousculent nos seuils de perception et nos instruments de mesure  ! En politique, en art, en clinique, en philosophie, l’animal bouleverse nos répartitions rigides et permet une écologie du multiple, des milieux associés, des rapports de force aléatoires et mouvants. À plus forte raison lorsque l’on...
Voir sur le site du CAIRN :
https://www.cairn.info/revue-chimeres-2010-2-page-9.htm
Publié dans le numéro

Chimères n°73 - Tiques, meutes et larves