Les psychanalystes se sont toujours un peu méfiés du cinéma, ils ont été plutôt attirés par les autres formes d’expression. Mais l’inverse n’est pas vrai, les appels du pied du cinéma à la psychanalyse ont été innombrables, à commencer par la proposition de Goldwyn à Freud : 100 000 dollars pour traiter des amours célèbres ! (...)
Félix Guattari, Le divan du pauvre, Communications n°23, 1975, p. 96-103. Psychanalyse et cinéma, sous la direction de Raymond Bellour, Thierry Kuntzel et Christian Metz.
PDF accessible sur : https://www.persee.fr/doc/comm_0588-8018_1975_num_23_1_1352