Publié en décembre 2011
D’un geste brutal, noir, j’ai frappé le fer de mes grolles contre la margelle pour en décrocher la neige tassée et j’ai poussé la porte de la galerie, sans regarder, y pénétrant comme on entre chez soi les soirs de colère.– Oupss…– Excusez-moi mademoiselle…Mon entrée a été tellement précipitée que mon visage frôle le sien, un parfum doux, qui me cueille. Je stoppe net et décale ma nuque, je m’excuse...
Voir sur le site du CAIRN :
https://www.cairn.info/revue-chimeres-2011-1-page-271.htm
Publié dans le numéro

Chimères n°75 - Devenir hybride