Peut-on mettre en scène une pièce où Gulliver récite un monologue écrit par Leibniz, où mondes poétiques riment avec théories scientifiques ? A l’heure où la computation tend à s’imposer comme paradigme dans les sciences, peut-on aussi faire appel à l’esthétisme pour réévaluer la notion de subjectivité ?
Publié en septembre 1991
La branche dure et le roseau pensant
par
Stéphane Hubert
Voir sur le site du CAIRN :
https://www.cairn.info/revue-chimeres-1991-3-page-20.htm
https://www.cairn.info/revue-chimeres-1991-3-page-20.htm
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