La branche dure et le roseau pensant

par Stéphane Hubert
Peut-on mettre en scène une pièce où Gulliver récite un monologue écrit par Leibniz, où mondes poétiques riment avec théories scientifiques  ? A l’heure où la computation tend à s’imposer comme paradigme dans les sciences, peut-on aussi faire appel à l’esthétisme pour réévaluer la notion de subjectivité  ?
Voir sur le site du CAIRN :
https://www.cairn.info/revue-chimeres-1991-3-page-20.htm
Publié dans le numéro

Chimères n°13 - Autres terrains, autres politiques