Un matin, j’ai reçu un appel d’un vieux camarade de militance politique que j’avais connu en 1982, alors que nous étions tous deux militants clandestins. Il avait pour rôle d’organiser légalement l’un des syndicats du transport et, de mon côté, j’étais la passerelle avec les structures clandestines. Je me suis réjoui d’avoir de ses nouvelles après presque vingt ans. Nous avons conversé sur nos vies...
Voir sur le site du CAIRN :
https://www.cairn.info/revue-chimeres-2013-2-page-52.htm
Publié dans le numéro

Chimères n°80 - Squizodrame et schizo-scènes