Publié en octobre 2006

Le chemin des rencontres – Séoul

par Jean-Charles Jambon
Plus d’un siècle après Baudelaire écrire sur la ville lui avait paru un pari insensé. Il essaya cependant. La tâche fut rude. Non seulement il lui fallut lire des textes écrits dans une langue qui n’était pas la sienne, mais il décida de les traduire pour témoigner de son attachement à une autre culture, à une capitale si différente de Paris où longtemps il avait vécu. Il envisagea l’écriture comme...
Voir sur le site du CAIRN :
https://www.cairn.info/revue-chimeres-2006-3-page-179.htm
Publié dans le numéro

Chimères n°62 - Varia