Publié en avril 2014

Le médiateur faune sauvage, conciliateur d’artistes

par Virginie Mézan-Muxart , Gaëlle Caublot
L’apport philosophique de Gilles Deleuze est considérable car il a remis en question la vision traditionnelle des rapports homme-animal  : l’un n’existe pas sans l’autre, il n’y a pas de séparation absolue entre eux. Dans une maison, la rencontre entre l’homme et l’animal peut être désirée dans le cas du choix d’un animal domestique par exemple, mais elle peut être fortuite dans le cas où l’animal sauvage...
Voir sur le site du CAIRN :
https://www.cairn.info/revue-chimeres-2013-3-page-179.htm
Publié dans le numéro

Chimères n°81 - Bêt(is)es

« Qu’ils sont bêtes ! », c’est le cri qu’on pousse pour injurier tous ceux qui violent notre capacité d’entendement et de tolérance. (…) La bêtise chez Deleuze et Derrida est le véritable problème de la pensée. Comment peut-on cantonner la pensée à reproduire ce qui est déjà connu ? (…)
Ce numéro de Chimères empoignera le combat entre la bête humaine et l’animal politique, entre une souveraineté fondée sur la force et la musique d’un peuple en marche vers une démocratie toujours à venir.