Le radicalisme et l’image

par Jean-Louis Comolli , Ange Pieraggi
Ange Pieraggi  : Je voudrais commencer par vous interroger sur les dispositifs liés à la réception des images. Vous écrivez que «  l’invention du cinéma ne peut se comprendre que comme l’invention du spectateur  », c’est-à-dire un sujet «  qui se retranche du spectacle de la vie pour s’isoler avec d’autres dans une salle obscure  » afin d’y partager une «  expérience esthétique  ». Vous dites par ailleurs...
Voir sur le site du CAIRN :
https://www.cairn.info/revue-chimeres-2016-1-page-162.htm
Publié dans le numéro

Chimères n°88 - Subjectivités en état d’urgence ?