Publié en janvier 2007

Reconnaître, sanctionner : retour sur les lois mémorielles

par Hélène Piralian
Le sens et l’importance du déni d’un génocide ne peut se comprendre qu’à partir de la spécificité et donc d’une définition précise du projet génocidaire, mais aussi de ses effets psychiques sur les survivants et leurs descendants, effets voulus par les bourreaux et que le déni est chargé de poursuivre.Le génocide vise la destruction d’un groupe en son entier, de ses racines culturelles collectives...
Voir sur le site du CAIRN :
https://www.cairn.info/revue-chimeres-2007-1-page-139.htm
Publié dans le numéro

Chimères n°63 - Éclats d’Arménie