Scènes squizoanalytiques en Argentine et en Uruguay

par Gabriela Berti , Jean-Philippe Cazier
«  Mon idéal, quand j’écris sur un auteur, ce serait de ne rien écrire qui pourrait l’affecter de tristesse, ou, s’il est mort, qui le fasse pleurer dans sa tombe  : penser à l’auteur sur lequel on écrit. Penser à lui si fort qu’il ne puisse plus être un objet, et qu’on ne puisse pas non plus s’identifier à lui. Éviter la double ignominie du savant et du familier. Rapporter à cet auteur un peu de cette...
Voir sur le site du CAIRN :
https://www.cairn.info/revue-chimeres-2013-2-page-10.htm
Publié dans le numéro

Chimères n°80 - Squizodrame et schizo-scènes